vendredi 27 mai 2011

USA American Cities (San Diego, Phoenix...)

1USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)29 avril 2011.jpg2USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)29 avril 2011.jpg3USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg4USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg5USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg6USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg
7USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg8USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg9USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg10USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg11USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg12USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg
13USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg14USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg15USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg16USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg17USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)01 mai 2011.jpg18USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)04 mai 2011.jpg
19USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)05 mai 2011.jpg20USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)05 mai 2011.jpg21USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)05 mai 2011.jpg22USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)05 mai 2011.jpg23USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)06 mai 2011.jpg24USA American cities (Phoenix, San Diego, Los Angeles)06 mai 2011.jpg

Les photos des villes américaines qui ont conclu notre voyage : Phoenix, San Diego, Los Angeles. Très bientôt la ville de Las Vegas aura sa propre galerie.

dimanche 22 mai 2011

Viva Mexico!

Et nous voilà arrivés à Mexico city après trois semaines de road trip à travers le sud ouest américain. J'eus à peine le temps de me remettre des paysages et du folklore américain que je devais me préparer à un tout nouveau pays. Même si par voie de faits la Californie et le Mexique partagent une histoire commune. Et que les Mexicains sont de plus en plus présents aux USA alors que les américains les envahissent tous les Springbreaks, ces pays sont à l’opposée.

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Même pas deux jours à Mexico et ça se prend pour un Mariachi

J'eus déjà expérimenté la grandeur des villes américaines tel Los Angeles avant d'arriver à Mexico City et je ne fus pas moins surpris de l'immensité de ville. Imaginez un instant de loger un tiers de la population française dans ce qui se trouvait être 400 ans auparavant un marais. Mexico m'apparut encombrée de voitures, de gens et d'odeurs. Nous avions prévu d'y passer deux nuits, pour partir le matin du 3ème jour. Nous y restâmes une nuit de plus attirés par l'étendue des possibilités de la ville. Nous prîmes une matinée pour visiter le musée d'histoire où nous pûmes découvrir des objets Aztec. Un autre journée vu consacrée à l'art en général. D'abord nous admirâme la casa de Frida Callo et ensuite nous acclamâmes U2 en concert dans le plus grand stade du monde. Nous prîmes aussi d’assaut la lune et le soleil qui sont les dieux auxquels les deux  temples de Tehotihucan sont dédiés.
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Malgré quelques beaux bâtiments on ne peut pas dire que Mexico City soit extraordinaire
Quelques jours après notre arrivée, nous prîmes la route pour Oaxaca (OARAKA) qui contrastait avec la grandeur de Mexico. Loin d'être un village Oaxaca est ce genre de ville qui malgré sa population arrive à conserver un centre ville agréable et étendue. Les rues bien droites et les murs blancs cassés contribuèrent à l'ambiance de western mexicain. Les marchés de produits frais et d'arts nous permirent de nous immerger dans le folklore de la ville. Nous en profitâmes aussi pour faire un peu de sport en gravissant à vélo le Monte Alban où siège les ruines Zapotèque à une dizaine de kilomètre de la ville. En bon français que nous sommes, nous accompagnions ce divin effort par un petit rougail saucisses avec les légumes et saucisses trouvés au marché.
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Les taxis de Oaxaca...

Notre périple nous entraina dans un bus de nuit vers la ville de Huatulco. Et j’emploierai bien le mot périple pour décrire la fin du voyage. Après 7 heures d'un transport chaotique dû à l’excessive vitesse de notre chauffeur sur une route montagneuse, notre bus se retrouva immobilisé à plusieurs kilomètres de la destination par une manifestation de taxi. Nous essayâmes, bon gré, mal gré, de prendre notre mal en patience, mais après deux heures d'attente nous tentions l'aventure à pieds. Moins d'un kilomètre plus bas nous passions devant le deuxième barrage de taxi, qu'observait nonchalant des militaires et des policiers. Nous eûmes alors l’immense, l'éminent, que dis-je, l'infini honneur de pouvoir attendre un taxi (non gréviste) qui nous mena à bon port. Enfin a Huatulco, installé dans un hôtel climatisé, nous dégustâmes tous les matins un jus de fruit frais pressé sous nos yeux et fumions un soir une chicha accompagnée d'une partie de billard. La Bahia de Huatulco est une station balnéaire. A la devanture des boutiques et à la carte des restaurants nous en déduisions que cette ville s'adressait plus aux américains qu'aux mexicains. Nous jouâmes donc aux touristes en faisant un mollasson rafting durant lequel notre seule sensation fût un gros coup de soleil et nous profitâmes aussi des différentes plages de la ville dont les eaux sont presque aussi chaudes que l'air. Ces baignades fûrent les premiers bains agréables du voyages, en effet les eaux de la Californie étaient glacées et nous nous y étions baignés seulement quelques instants.
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L'homme, la mer et une Cerbeza

Différents moyens de transport nous entrainèrent ensuite vers Mazunte. C'est un petit coin de mer, coincé entre deux collines. Cette ville essaie de se situer entre une destination root/hippy et un grand lieu de tourisme. Il en résulte en conséquence des habitationes ouvertes au quatre vents, remplis de moustiques mais ne coûtant pas grand chose. Les nuits passées là-bas furent désagréables. Mais heureusement le matin de notre départ nous vécurent une expérience extraordinaire. Elle commençait d'ailleurs assez mal. Nous voulions faire une sortie snorking avec d'anciens bateaux de pêche reconvertis depuis lors par les locaux flairant la bonne affaire. Comme tout bon globetrotteurs nous souhaitions négocier le tarif alors que notre guide ne l'entendait pas de cette oreille. Il s'en suivit alors une longue guerre de patience que nous gagnâmes et qui nous permit d'économiser la coquette somme de 3€ par personne. Nous ne firent pas plus de cinq minutes de plongée. A la place nous  naviguâmes près d'une heure au milieu d'un banc de dauphin. J'en ai pourtant vu dans ma vie. A la Réunion, presque toute plongée s'accompagne d'une recherche de dauphin et de baleine, à Madagascar il met arrivé d'en voir. Et pourtant le spectacle d'une centaine de dauphins nageant, plongeant et voltigeant autour de notre frêle esquive me laissa coi. 

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La petite plage de Puerto Escondido. Quelques pas plus loin un des meilleurs spot de surf au monde...

Après cette aventure, mon chemin se sépara de celui de Christopher et Larissa. Ces derniers profitent des quelques jours qui leurs restent avant un mois de volontariat à proximité de Mérida tandis que je prends le temps de passer une semaine à Puerto Escondido pour surfer et apprendre l'espagnol. Merci à eux pour m'avoir "emporter" avec eux dans la fin de leur tour du monde.

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Le Street Art n'est pas encore très répandu au Mexique



Les autres photos se trouvent ici

vendredi 13 mai 2011

J'ai...

Lors du voyage on rencontre toujours une quantité de personnage. L'abord, en particulier dans les auberges de jeunesse, vient facilement. On en arrive toujours pour se présenter à une énumération de nos expériences de voyage avant de plonger dans des discussions moins superficiel. J'ai, I have, Ich habe...autant de façons peu élégantes de présenter des expériences aussi extraordinaires que variées. Du coup je ne saurais manquer à la tradition et vous propose ici ma propre énumération de mon voyage américain tel un genre particulier du carnet de voyage.

J'ai vu tant de choses que vous ne pourriez pas croire

une route coincée entre un océan gelé et une terre verdoyante,
des vignobles américains dont les cépages se galvanisant d'être français,
un cimetière vivant d'éléphants de mer plongés dans une sieste collective,
des phoques, des requins, des méduses et une vaste variété de la faune sous marine s'amusant avec des plongeurs entre quatre murs de verre,

une brume opaque avalant un pont rouge et s'emparant en silence de la ville,
la cellule noire et silencieuse où l'on tentait de calmer Birdman, Machine Gunb Kelly, Al Capone...
des hommes et femmes en robe bleu chantant du gospel,

des écureuils pas milliers remplaçant leurs frères ours absents
des cascades vertigineuses,
des montagnes rondes tel le dôme d'un observatoire,
des biches traversant la route alors que le soleil peiné à se lever,
un nuage qui se prenait pour un arc en ciel en changeant de couleur chaque seconde,

des champs d’éoliennes qui tel des dieux gardées l'entrée du désert,
un ciel étoilé en plein milieu de la route pour Las Vegas,
des mers de sel dangereusement tranchantes,
une maison au milieu de nul part où deux hommes ont pu vivre leur amour,
des oasis à l'eau translucide habités de milles oiseaux,
un poisson niché dans un trous que le diable possède,

une cité sans limite dont je ne connaitrais qu'une rue,
un canal de venise perdu en plein désert,
trois hommes en bleu venus de très loin,

un lac presque noir où la  lumière du soleil se disputait avec le sombre d'un orage,
une ptérodactyle qui avait certainement perdu son chemin,
des montagnes rouges parcouru par deux cavaliers,
des indiens qui ne m'ont fait aucune impression,

un canyon immense et profond,
encore une fois un ciel étoilé comme je n'en avais plus vu depuis longtemps,
des cerfs broutant à quelques pas de la route,
une route magique et métamorphe: d'abord forêt, puis désert, à nouveau forêt pour se changer en grand final en cimetière de roche.

des villes étalées sur des kilomètres
un golf rempli d'américains impatients
un enregistrement de show tv



lundi 9 mai 2011

Show must go on!!!

Le temps a manqué autant que l'envie d'écrire durant le voyage. Ce n'est pas qu'il manquerait de contenu, c'est surtout que rares sont les instants où je ne souhaite pas m'imprégner à fond des endroits que je visite. Aussi, plutôt que de raconter linéairement ce voyage, je vous propose un sujet transverse : le show à l'américaine.

J’emploierai plus aisément le mot show au détriment de spectacle pour deux raisons. D'une part, avec la crise le prix du pixel a atteint des sommets et l'économie de quatre caractères est non négligeable, d'autre part le mot anglais semble plus convenir à l'exubérance et à la volonté des acteurs d'en mettre plein la vue!
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Un vrai spectacle Gospel comme dans les films
Nous étions donc à San Francisco un dimanche matin. C'était notre dernier jour sur place et les deux jours passés dans la ville avait été loin d'être suffisant pour la découvrir. Prévu de longue date, nous enfermions néanmoins de bonne heure dans ce bâtiment. La pièce était bondée de gens venant tout le pays, un petit orchestre se préparait au fond de la salle et des panneaux nous annonçaient prochainement le retour du King. Pas Elvis Presley, mais de Jesus Christ. Vous vous en doutiez, nous assistions à une messe gospel. Des femmes et des hommes entrèrent sur scène, introduits par le pasteur qui n'étaitautre qu'une femme. Le public se lèva et frappa des mains en rythme avec le chant. Pleine d'énergie la salle se mit en mouvement, bâtit la cadence et chanta les refrains que scandait avec force le cœur d'hommes et de femmes . Sur un écran au dessus du groupe du chanteur, nous revivions les sacrifices du Christ et on nous rappela que notre conduite devait être guidée par l'amour en toute circonstance. Un invité de marque, semblait-il, nous raconta sa propre expérience et son combat pour s'aimer lui-même. Ancien obèse, c'est grâce à ses amis et à sa communauté qu'il reprit confiance en lui et devint maigre comme un clou. Pour nous faire prendre conscience de l'amour du prochain le pasteur nous demanda d'embrasser nos voisins et de les tenir par la main le temps d'une nouvelle chanson. Je comprenais mieux l'attrait qu’exerce sur les américains les différents cultes : l’évangélisme ne se fait pas par le secours de grande vérité, soi disant indéniable, mais pas un show qui se veut ouvert à tous. Nous fûmes invités a rejoindre la communauté qui aide certains à trouver du travail et d'autres à mieux comprendre leur foi. Même sans avoir participé à cela, ces chants resteront une expérience amusante et dépaysante.
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Les décorateurs des hôtels de Las Vegas s'en donnent à cœur joie
A l’opposée de la douce ferveur religieuse, nous arrivâmes quelques jours plus tard à Babylone. Cité du vice et exemple de la déchéance humaine, Las Vegas n'en demeure pas moins la ville du Show. La première nuit Alah et moi-même profitions des casinos et des hôtels. Le casino, à Las Vegas, ne s'arrête pas à la roulette, aux machines à sous et à un bâtiment très classe. Il devient un lieu intemporel, pleins de surprises, de luxes et d'idées folles. Dans un premier, le Circus Circus, nous découvrîmes une galerie commerciale qui nous mena très vite dans un parc d'attraction aux nombreux roller coster. La démesure se retrouva partout le long du strip. On remarqua d'ailleurs que c'était la ville dont nous ne connaitrons jamais qu'une unique rue. Dans le casino le Venitian, des canaux vénitiens étaient reconstitués et des trompes l’œil digne de Rome nous firent voyager dans cette ville romantique. C'est d'ailleurs dans ce Casino que nous vîmes un show que nous n'oublierons pas. Le Blue Man Group est un spectacle de son et lumière. Il met en scène trois extraterrestres peints de bleu qui découvrent comme des ingénus les coutumes humaines : serrer la main, manger avec des couverts, le rire du public. Entre chaque séance de rire, le Blue Man Group est accompagné d'un orchestre qui nous entraine dans un univers de percussions fabriquées avec des tuyaux de plomberie en PVC. Jouant sur l'obscurité et les couleurs vivent, le mariage des sons et lumières nous fit vivre un rêve. 
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Ca ne semble rien, mais il est difficile de s'approcher des lettres Hollywood
Hollywood, n'est pas avare non plus en show. Le spectacle aquatique Waterworld dans les studios Universal est un exemple des moyens mis en œuvre pour ravir le public. Entre cascade en altitude et pyrotechnie, le spectateur entre sans mal dans le show jusqu'au moment où un avion sorti de nul par s'écrase dans le bassin et asperge le public qui ne s'attendait absolument pas à une telle débauche technique. L'enregistrement du Jay Leno show montre lui aussi à sa manière que le show peut être superficiel. L'enregistrement dans un studio glacé, comparé à la température extérieur, dura près d'une heure et demi. Tout au plus les invités sont interviewés 5 minutes, sans vrais questions. Pour meubler le présentateur fait quelques blagues et un orchestre meuble les passages publicitaires. Sans véritable fond, nous passâmes tout de même un bon moment, particulièrement lorsque Chris gagna un T shirt qu'il fit dédicacer par l'acteur de Thor.
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Le musée d'art moderne de Los Angeles receler de perles

Le show me sembla le moyen de présenter les choses aux Etats Unis, ou du moins en Californie. Les gens, ici, parlent facilement et jouent un rôle comme ces chauffeurs de bus dans les parcs  nationaux qui décrivent les paysages et racontent des histoires ou bien ces serveuses qui sans vous connaître vous prénomme sweetie. Cette façon de faire tranche avec la sobriété des musée et de l'accueil que l'on peut avoir en France.

dimanche 8 mai 2011

USA Death Valley et Route 66

1USA Route 66 et Death Valley21 avril 2011.jpg2USA Route 66 et Death Valley21 avril 2011.jpg3USA Route 66 et Death Valley21 avril 2011.jpg4USA Route 66 et Death Valley21 avril 2011.jpg5USA Route 66 et Death Valley21 avril 2011.jpg6USA Route 66 et Death Valley21 avril 2011.jpg
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USA Death Valley et Route 66, un album sur Flickr.

Que serait un american roadtrip sans rouler ne serait-ce que quelques miles sur la fameuse route 66? Techniquement elle n'existe plus, le bitume est bien là mais l'Interstate 66 est devenu une State road morcellé entre le Nevada, La Californie et l'Arizona. Triste sort pour cette route qui a tellement joué avec notre imaginaire. Pas loin de cette route nous avons découvert la Death Valley qui regroupe les paysages les plus extraordinaires que j'ai pu voir à ce jour. Entre un océan de sel et des oasis cachés, l'aventurier n'en finit pas d'être surpris....